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La maison habitée, roman paru aux Éditions David en mai 2014

dimanche 1 février 2015

Lancement de La maison habitée



Samedi le 24 janvier 2015 avait lieu le lancement de mon premier roman, La maison habitée, publié aux Éditions David au printemps 2014.




J'accueille les gens à la Librairie L'Étincelle...

Marie-Anne Blaquière, directrice de collection aux Éditions David, lit un mot de présentation de mon roman...

Je lis un collage de La maison habitée...

Marie-Lyne Tatlock slame...

Sébastien Lamarre lit des poèmes-chocs...

KJT slame... (Emmanuel Cormier-Cotnoir)

Après le départ de la photographe, nous avons aussi eu le plaisir d'entendre slamer André Marceau. David Riffin et moi avons ensuite interprété une pièce de notre spectacle musico-poétique "Demi-tête chronomatique", présenté une première fois dans le cadre du Mois de la poésie 2014.



Une jeune femme aveugle reçoit en héritage d’un oncle marin une maison isolée sur la côte en Bretagne. Quittant son confort parisien, elle décide d’aller y vivre seule, mais très tôt elle découvre que la maison est... habitée. Le feu s’allume de lui-même dans l’âtre, des spectres se manifestent dans les chambres à l’étage, un autre prépare des plats dans la cuisine...

Ces êtres immatériels qu’elle côtoie, les imagine-t-elle ou se trouve-t-elle à la croisée de deux mondes? Même ses yeux qui étaient morts semblent soudain percer l’obscurité. En suspension dans le temps et l’espace, son existence ne dépend plus que d’une chose : sa capacité à résoudre l’énigme de la maison, qui est aussi, pressent-elle, celle de sa propre vérité.

Un roman inclassable, aux frontières du réel et du fantastique, qui nous offre un voyage fascinant dans les arcanes de l’inconscient.


« Oui, j’avais oublié et pourtant je me souvenais de tout. Le palier à l’odeur de chêne et de cire, les deux ouvertures que découpaient les portes se faisant face de chaque côté du palier avec une troisième au centre… Loin de me trouver en terrain étranger, j’étais ici chez moi, plus que je ne l’avais été depuis longtemps. »

« Ce qui me poussait à douter de mes sens plus que tout, c’était que moi, une aveugle, je voyais ce feu. »




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